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Présentation clinique I et aletier I “clinique de l’entretien”

12 octobre : 9h30 à 12h30

Atelier animé par Mohamed Nechaf, Marie-Amélie Roussille, Monique Vanneufville, Bénédicte Vidaillet

Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

Détails

Date :
12 octobre
Heure :
9h30 à 12h30
Catégorie : , ,

Lieu

Locaux de Startway Lille Grand Place
68 rue Saint-Etienne
Lille, 59800
+ Google Map

Atelier animé par Mohamed Nechaf, Marie-Amélie Roussille, Monique Vanneufville, Bénédicte Vidaillet

Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

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Date :
12 octobre
Heure :
9h30 à 12h30
Catégorie : , ,

Lieu

Locaux de Startway Lille Grand Place
68 rue Saint-Etienne
Lille, 59800
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Atelier animé par Mohamed Nechaf, Marie-Amélie Roussille, Monique Vanneufville, Bénédicte Vidaillet

Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

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Date :
12 octobre
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Lieu

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68 rue Saint-Etienne
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Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

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Date :
12 octobre
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Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

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Date :
12 octobre
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Atelier animé par Mohamed Nechaf, Marie-Amélie Roussille, Monique Vanneufville, Bénédicte Vidaillet

Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

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Une séance sur deux est projeté un film de la série « La vie normale », réalisée par Geneviève Morel, à l’EPSM d’Armentières. Dans chacun de ces films, l’analyste qui ne le connaît pas s’entretient avec un patient hospitalisé et volontaire qui accepte de témoigner de son histoire et des raisons de son hospitalisation. Le patient évoque sa vie présente et passée avec ses mots et dans son style singulier. L’analyste tente de repérer les points nodaux de son histoire, les signifiants qui peuvent surgir pendant cet unique entretien et tout ce qui peut éclairer sa trajectoire de vie et la part qu’il y prend. 

Dans un second temps, après la projection du film, les analystes qui animent l’atelier et les personnes présentes reprennent « à chaud » les éléments du cas. Ils tentent d’interpréter ce qu’ils viennent d’entendre grâce aux concepts clefs de la psychanalyse et de la psychiatrie. Les questions soulevées par le cas font l’objet d’un débat entre tous les participants.

Lors de la séance suivante, le matériau est repris et retravaillé en rapport avec la théorie psychanalytique autour de trois temps. Tout d’abord, un participant à la projection de la séance précédente présente le cas qu’il a minutieusement reconstruit. Le fil de l’histoire est reconstitué, avec ses épisodes aigus et ses temps morts ; le symptôme du sujet, articulé dans ses propres mots, s’en dégage souvent avec une netteté qui surprend. La logique des passages à l’acte, leur liaison à un éventuel délire s’articule au diagnostic de structure, toujours discuté à partir d’hypothèses contradictoires.

Ensuite, deux présentations théoriques en lien avec des points saillants de la clinique de ce cas sont faites par les analystes qui animent l’atelier, ce qui permet un travail précis de présentation des concepts psychanalytiques, d’articulation à la clinique et de mise à l’épreuve. On peut ainsi être conduit à préciser comment repérer la forclusion dans la psychose, quelle valeur donner aux identifications et aux répétitions, ce qui peut faire sinthome pour un sujet, etc.

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