Atelier V Suicide et homicide
20 novembre : 21h00 à 22h45
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
L’atelier fera une large place aux cas cliniques pour éclairer notre étude.
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
L’atelier fera une large place aux cas cliniques pour éclairer notre étude.
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
L’atelier fera une large place aux cas cliniques pour éclairer notre étude.
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
L’atelier fera une large place aux cas cliniques pour éclairer notre étude.
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
L’atelier fera une large place aux cas cliniques pour éclairer notre étude.
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
L’atelier fera une large place aux cas cliniques pour éclairer notre étude.
Suicide et homicide, Hommes « déconstruits », quels changements pour la famille?
Atelier animé par Lucile Charliac, Dr Brigitte Lemonnier, Dr Geneviève Trichet, Monique Vanneufville
La notion d’homme « déconstruit » trouve son origine dans les théories queer et féministes qui se sont développées à la fin du XXe siècle. Elles dénoncent la socialisation genrée qui aurait conduit les hommes et les femmes à adopter des rôles sociaux en fonction de leur sexe, fondés sur des stéréotypes de genre.
L’homme « déconstruit » refuse le modèle masculin imposé par la société (force, puissance par exemple) et se donne à lui-même ses propres normes souvent empruntées au modèle féminin : s’autoriser à pleurer, à montrer ses faiblesses ; participer à un partage égalitaire des tâches liées à la vie quotidienne et familiale.
La psychanalyse, depuis ses débuts, n’a cessé d’interroger la fonction paternelle et sa complexité. Nous appuyant sur la relecture de Freud parLacan, nous nous demanderons quelles incidences ce nouveau modèle peut avoir sur la fonction paternelle. Comment devient-on un père dans le cadre de l’idéal de l’homme déconstruit? Un apprentissage, comme il est suggéré aux nouveaux pères, peut-il se substituer au désir de transmission et de succession qui ordonne la procréation? Car cette dimension symbolique, même si le sujet l’appelle de ses vœux, peut s’avérer impossible à assumer, entraînant parfois le déclenchement de passages à l’acte pouvant aller de la rupture du lien conjugal jusqu’au passage à l’acte homicide ou suicidaire.
Parmi les errements et risques auxquels peut donner lieu l’exercice de la fonction de père, l’idéal de l’homme déconstruit en écarte-t-il certains? En favorise-t-il d’autres? En introduit-il de nouveaux?
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Association Aleph
Association Savoirs et Clinique
Association CP-Aleph