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Atelier VIII Atelier adolescent
16 octobre : 20h45 à 22h30
Constructions dans l’enfance,
leur devenir à l’adolescence
Atelier animé par Mohamed Nechaf, Dr Geneviève Trichet
À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
En présentiel et par visioconférence : Zoom
Constructions dans l’enfance,
leur devenir à l’adolescence
Atelier animé par Mohamed Nechaf, Dr Geneviève Trichet
À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
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Constructions dans l’enfance,
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Atelier animé par Mohamed Nechaf, Dr Geneviève Trichet
À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
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Constructions dans l’enfance,
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Atelier animé par Mohamed Nechaf, Dr Geneviève Trichet
À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
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À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
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À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
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Constructions dans l’enfance,
leur devenir à l’adolescence
Atelier animé par Mohamed Nechaf, Dr Geneviève Trichet
À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
3 D. Leader, Relire Le petit Hans, Paris, Édition Nouvelles du Champ Lacanien, 2021.
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À propos du petit Hans¹, un cas analysé par Freud qu’il reprend en 1956, Lacan fait allusion à l’évolution des rapports entre les sexes après-guerre. Même si Hans est hétérosexuel, son identification à l’idéal maternel est corrélée à sa position sexuelle passive. Et Bonjour tristesse, de Françoise Sagan (1954), témoigne de profonds changements dans les relations homme/femme. La psychanalyse doit en tenir compte.
Ces remarques de Lacan entrent en résonance avec nos préoccupations contemporaines. Les normes sociales sont changeantes. Pour Freud, « il y a des normes sociales faute de toute norme sexuelle ». La construction des identités sexuées, en particulier celle du petit homme, a dorénavant l’horizon idéal d’une masculinité différente, parfois intitulée « déconstruction ».
Le petit Hans est effectivement confronté à un réel sexuel. Nous nous intéresserons à la relecture du cas par Lacan, dans son séminaire La relation d’objet². Notre étude sera éclairée par les documents les plus récents tirés des Archives Freud et du travail des historiens, notamment les interprétations de Darian Leader³.
Ces différentes études peuvent-elles nous aider à répondre à la question de ce qu’il y aurait de commun entre les phobies qui se manifestent dans l’enfance et celles que l’on rencontre parfois à l’orée de l’adolescence, quand le sujet se trouve confronté à l’assomption de son sexe et de sa place dans le monde
1 S. Freud, « Analyse d’une phobie chez un petit garçon de 5 ans (Le petit Hans) », dans Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1993.
2 J. Lacan, Le Séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Seuil, 1994.
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Association Aleph
Association Savoirs et Clinique
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