ART/PSYCHANALYSE
Je fantasme Érotiquement, névrotiquement …
16 décembre à 20h45
Je fantasme et fictionne avec Grand Magasin.
Les réalistes traumatiques : Geert Goiris, Lewis Baltz, Walid Raad.
Et surprise de Noel…. Dani Lessnau qui réalise tous vos fantasmes…

16 décembre à 20h45
Je fantasme et fictionne avec Grand Magasin.
Les réalistes traumatiques : Geert Goiris, Lewis Baltz, Walid Raad.
Et surprise de Noel…. Dani Lessnau qui réalise tous vos fantasmes…

Je fantasme - Hormonalement, traumatiquement - Je fantasme - Schizophréniquement. Ces paroles de la chanson d’Aznavour nous rappellent que le mot fantasme nous semble familier. Dans l’Angoisse en 1962, Lacan montre que si le fantasme tout comme la fenêtre donne à voir un monde imaginaire, de la représentation, il produit de la réalité car il nous gouverne : nous l’incorporons finalement. Si l’enjeu de l’analyste est de défaire leur emprise sur nous, les fantasmes peuvent dans l’art devenir l’enjeu de constructions de troubles : je fantasme, je fictionne : du langage (Dominique Petitgand, Maguy Marin, Grand Magasin), du genre (Martha Wilson, Michel Journiac, Alain Buffard ) et du monde désenchanté des désastres (Goya, Walid Raad, Geert Goiris, Lewis Baltz). A partir de Magritte, Perec, Goya, Bunuel, nous nous attarderons à une vague actuelle d’artistes comme « guides » dans la ville, la nature, les institutions qui décident de nous faire voir autrement ce qui nous entoure sous la forme d’une promenade (Janet Cardiff, Dector & Dupuy, A-S Turion, …). Je fantasme, une embrouille ?